L'AFP deviendrait-elle "extrémiste, xénophobe, d'extrême droite" en dénoncant les atrocités meurtrières de l'Arabie Saoudite, nouveau membre du "Conseil des droits de l’Homme" (CDH) de l’ONU pour une année ? (NB: c'est par ces mots là, que l'AFP et ses journaleux subventionnés par nous, contribuables - insultent chaque jour les patriotes qui défendent leur pays, leur peuple, l'avenir de leurs enfants) Il faut avouer que nous avons le droit de douter de l'honnêteté tant de l'ONU que de nos extrémistes-européïstes-mondialistes-immigrationistes politiques. Des coupeurs de têtes au Conseil des Droits de l"Homme, ça fait "tache", non ? Ca tient pour ma part de la Haute Trahison de nos zélites qui n'en disent mot !Joe
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Arabie saoudite : trois Iraniens décapités
Trois Iraniens, condamnés en Arabie saoudite pour trafic de drogue, ont été décapités au sabre à Damman ce dimanche. Les trois Iraniens avaient tenté d'introduire par mer une «grande quantité de haschich» dans le pays, a indiqué le ministère de l'Intérieur à Ryad.
Une vidéo de 49 secondes a été diffusée par un activiste saoudien, basé en Allemagne, raconte Middle East Eye. Filmée illégalement par un touriste, elle montre trois hommes, agenouillés les yeux bandés dans une rue saoudienne. L'activiste précise qu'il ne sait pas de quand date la vidéo qu'il diffuse mais qu'elle met en lumière les méthodes saoudiennes.
Des officiels en robe traditionnelle se tiennent près des prisonniers. L'un d'entre eux tient un long sabre à la main. En quelques secondes les hommes sont exécutés.
Le bilan de 145 exécutions depuis janvier, établi par l'AFP sur la base de communiqués officiels, dépasse largement celui enregistré en 2014 (87). Selon Amnesty International, l'Arabie saoudite figure parmi les pays qui exécutent le plus grand nombre de personnes avec la Chine, l'Iran et les Etats-Unis. Meurtre, viol, vol à main armée, apostasie et trafic de drogue sont passibles de la peine capitale dans ce pays régi par une version rigoriste de la charia (loi islamique). Les autorités saoudiennes invoquent la dissuasion comme argument clé pour justifier la peine de mort.
Condamné à mort en mai 2014 pour avoir manifesté contre la monarchie saoudienne en 2012 alors qu'il était mineur, un jeune activiste saoudien Ali Mohammed al-Nimr risque d'être décapité et crucifié. Cette condamnation a provoqué un tollé au niveau international. François Hollande a même demandé la suspension de cette exécution.
Déclaration des droits de l’homme de 1793 art. 35 : « quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».
Sauvons le poète Ashraf Fayad condamné pour apostasie par l'Arabie Saoudite
Le poète palestinien Ashraf Fayad a été condamné à mort pour "apostasie".
En d’autres termes, l’Arabie saoudite lui reproche d’avoir tenu des propos contre Dieu et contre le royaume. Une accusation qui repose sur un témoignage unique. "J'ai été très choqué mais c'était attendu. Je n'ai cependant rien fait pour mériter la mort", a-t-il expliqué au journal britannique The Guardian.
Ashraf Fayad, qui avait représenté l'Arabie saoudite lors de la Biennale de Venise en 2013, était inquiété par la police religieuse du royaume pour des poèmes aux idées athées.
Le poète avait déjà été détenu en 2013, pour blasphème. Relâché le lendemain, Ashraf Fayad avait de nouveau été arrêté en janvier 2014. Cette fois-ci, il avait passé 27 jours au poste avant de se retrouver en prison.
En 2014, il est alors condamné à quatre ans de prison et 800 coups de fouet en première instance après une plainte provenant d'un groupe de discussion culturel dans un café d'Abha (sud-ouest). Un homme affirmait alors l'avoir entendu tenir des propos contre Dieu, tandis qu'un religieux l'accusait de "blasphème" dans un recueil de poèmes que le Palestinien a écrit il y a 10 ans. Lors du premier procès, Ashraf Fayad avait démenti que son ouvrage soit "blasphématoire", mais s'était quand même excusé. La cour n'avait alors "pas voulu le condamner à mort".
Mais selon l’ONG Human Right Watch, un autre tribunal est donc revenu sur cette décision, jugeant que "le repentir, c'est pour Dieu". Privé de carte d'identité, le poète n'a pu bénéficier de l'aide d'un avocat pour se défendre.
Pour Ashraf Fayadh, cette condamnation vient après de nombreux problèmes rencontrés avec la police religieuse. Pour ses amis, qui avaient alors lancé une page de soutien, la police religieuse n'ayant trouvé aucune trace "d'incitation à l'athéisme" dans ses poèmes, elle l'avait poursuivi pour avoir fumé et pour arborer des longs cheveux.
Si je soutiens Ashraf aujourd'hui, c'est parce que je suis indignée et outrée par le sort qui lui est réservé, dans un pays qui ne cesse de violer les droits humains; l'Arabie Saoudite, où on coupe les têtes à coup de sabre, où on coupe les mains et les pieds, où on fouette sur les places publiques, et à qui on réserve les meilleures places et les meilleurs titres aux Nations Unies! N'est-ce pas une aberration, que d'attribuer la présidence du Conseil des droits de l'homme, à ce pays!
Je suis outrée, parce que Ashraf a été condamné pour ses mots, pour sa poésie et en tant que poète libre qui a déjà soutenu en Tunisie deux jeunes condamnés pour athéisme, je ne peux qu'apporter mon soutien à cet homme, à cet orfèvre des mots, condamné pour apostasie!
La liberté de conscience pour moi, doit être inscrite et garantie par toutes les constitutions du monde, pour permettre à chacun de croire ou de ne pas croire, de pouvoir changer de religion, d'être monothéiste ou polythéiste, déiste, panthéiste, agnostique ou que sais-je encore! Alors, je soutien Ashraf et les milliers d'Ashraf sur la planète qui au nom des théocraties et autres dictatures se font massacrer dans l'indifférence générale!
Cette pétition a aussi été lancée en Italie et en Espagne.
Déclaration des droits de l’homme de 1793 art. 35 : « quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».
En tout cas, nous n’oublierons pas que Hollande avait fait retirer cette même Légion d’Honneur à Jean-François COLLIN, ancien Para d’Algérie, au motif de son appartenance à l’OAS. Hollande préfère donc ceux qui n’aiment pas la France. Rien de nouveau !... Et nous apprenons en dernière minute que Hollande va maintenant commémorer le 19 Mars 1962. La traîtrise n'a pas de limite !...
Plusieurs responsables politiques se sont élevés contre la remise de la Légion d'Honneur au prince héritier d'Arabie saoudite Mohamed ben Nayef par François Hollande.
Cette décoration a notamment été dénoncée par le vice-président du Front National Florian Philippot qui a évoqué sur Twitter une « légion du déshonneur », ainsi que par Gilbert Collard et Robert Ménard, proches du FN. Mais les blâmes ne sont pas venus que du FN. Le député socialiste de Haute-Garonne Gérard Bapt estimant dans un communiqué que « le réalisme politico-commercial ne devrait pas conduire à des postures morales à deux vitesses ». De son côté, l'essayiste Raphaël Glucksmann a relevé sur Twitter: « Une envolée féministe dans Elle. Puis une Légion d'Honneur au wahhabisme. François Hollande le Cohérent. »
Selon une source diplomatique française, « c'est une habitude diplomatique et protocolaire » fréquente et François Hollande a d'ailleurs lui-même été décoré lors d'une visite en Arabie saoudite. Pourtant, l'Élysée n'avait pas annoncé la remise de cette décoration et l'agenda du président de la République évoquait seulement un entretien vendredi après-midi avec Mohammed ben Nayef, qui est vice-Premier ministre et ministre de l'Intérieur du gouvernement de Ryad. Hollande espérait-il que cette honteuse remise de décoration passerait inaperçue ?... Craignait-il les réactions à priori ?... En revanche, l'agence de presse saoudienne SPA avait annoncé dès vendredi que Mohammed ben Nayef s'était vu remettre « la médaille de l’ordre national de la Légion d’Honneur, qui est la plus haute distinction française, pour tous ses efforts dans la région et dans le monde dans la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme ».
En tout cas, nous n’oublierons pas que Hollande avait fait retirer cette même Légion d’Honneur à Jean-François COLLIN, ancien Para d’Algérie, au motif de son appartenance à l’OAS. (voir l’article du Gaulois) Hollande préfère donc ceux qui n’aiment pas la France. Rien de nouveau !...
Un « président » veule et sans Honneur ne peut que salir tout ce qu’il touche.
Retrouvons notre liberté, notre souveraineté, nos droits, et protégeons l'avenir de nos enfants en partageant chaque jour au maximum les articles des patriotes.
Déclaration des droits de l’homme de 1793 art. 35 : « quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».